Cécile Jodogne réagit au rapport du GIEC : "Nous pouvons encore éviter le point de non-retour, rester positif c’est pouvoir agir. Il faut s’emparer des opportunités technologiques mises en avant par le GIEC. C’est pour cela que je mise sur l’expertise bruxelloise en construction durable dans la plupart de mes actions en commerce extérieur, depuis le début de mon mandat de secrétaire d’Etat.
C’est pour moi LA priorité. Pour le climat d’abord, comme pour le secteur de la construction et pour la notoriété de Bruxelles à l’étranger.
Nous avons l’expertise : nos architectes et ingénieurs ont répondu aux normes exigeantes dès 1999. Renforcer nos entreprises exportatrices c’est leur permettre de nouvelles avancées technologiques.
La construction durable est une technique innovante essentielle pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Bruxelles est pionnière dans ce domaine et je veux continuer à le faire savoir, plus que jamais, c’est un formidable atout pour notre notoriété !
Concrètement ?
En 2019 : 8 actions à l’étranger dédiées à la construction durable organisées à ma demande par hub.brussels et 17 missions économiques multisectorielles avec un volet «construction durable».
Du 24 au 26 octobre prochain j’accueillerai une délégation de responsables de services et décideurs en provenance New-York et de Washington DC inspirés par l’expertise bruxelloise en matière de construction durable.
Afin d’encore améliorer dans le futur l’offre que nous mettons en avant dans de telles occasions, j’ai demandé à hub.brussels de cartographier l’état de la demande en construction durable dans les différentes régions du monde et de rassembler experts et entrepreneurs bruxellois du secteur afin de faciliter l’offre à l’étranger de solutions globales « made in Brussels » en matière de construction durable."
Ceci pourrait aussi vous intéresser :
- Bruxelles innovante en construction passive
- Mission à Buenos Aires : Cécile Jodogne remet l'écoconstruction sur le métier
- Pour un entrepreneuriat durable à l'international