«Je soutiens personnellement la campagne Think-pink menée en ce mois d’octobre, mois international du cancer du sein. Porter le ruban rose Think-pink, c’est sensibiliser son entourage à l’importance du dépistage précoce.»
L’association à l’initiative de cette action insiste sur la nécessité « d’une prise de conscience supplémentaire » et rappelle une triste réalité : une femme sur huit est touchée par le cancer du sein alors qu’une sur trois seulement se fait dépister.
Pour un grand nombre de personnes atteintes, le dépistage précoce permet pourtant d’éviter le développement de la maladie.
La ministre de la Santé Cécile Jodogne rappelle qu’à Bruxelles, le Gouvernement francophone bruxellois participe financièrement au programme de dépistage organisé par Brumammo. Le dépistage est gratuit pour les femmes de 50 à 69 ans.
Les femmes de cette tranche d’âge reçoivent tous les deux ans un courrier personnalisé expliquant l’intérêt du dépistage et les démarches à suivre pour passer un examen radiographique des seins (mammographie).
Malgré l’accessibilité du dépistage, le taux de réponse est de 53%, ce qui reste insuffisant en comparaison de la moyenne européenne (70%).
Dans le plan stratégique 2018-2022 de Promotion de la santé initié par Cécile Jodogne, la prévention du cancer du sein fait partie des priorités en médecine préventive.
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