Développer les formations aux techniques du commerce extérieur, c’est vital pour nos entreprises et pour l’emploi des Bruxellois

Mardi, 16 septembre, 2014

A l'occasion d'un événement organisé ce 16 septembre par Bruxelles Invest & Export, en collaboration avec Cefora et Bruxelles Formation, la secrétaire d'Etat au commerce extérieur Cécile Jodogne a indiqué qu'elle mettrait tout en œuvre pour développer, à Bruxelles, les programmes de formation à l'international.

Développer les formations aux techniques du commerce extérieur, c’est vital pour nos entreprises et pour l’emploi des Bruxellois

Bruxelles Invest & Export organise en effet deux programmes de formation en commerce international à destination des demandeurs d’emploi : le Brussels Young Exporters Program (BYEP) et le programme Assistants Import-Export (AIE).

Des formations fructueuses

Le cap des dix années d’existence de ces formations était l’occasion pour la secrétaire d'Etat de tirer un bilan :

  • 270 candidats ont été brillamment formés;
  • 250 entreprises ont pu bénéficier d'un stagiaire pour les aider dans leurs démarches à l'international;
  • le taux moyen d'insertion professionnelle des candidats formés est de 70%;
  • plus de 180 stagiaires bruxellois ont trouvé un emploi dans les 6 mois après la fin du stage.

Mesures pour développer les prochains programmes

Compte tenu de ces résultats, la secrétaire d'Etat a confirmé qu'elle prendrait les dispositions nécessaires, en collaboration avec Bruxelles formation et le Cefora, pour développer les prochaines éditions des programmes de formation. «Cette initiative répond également à une demande des entreprises bruxelloises qui recherchent du personnel formé aux techniques du commerce international », a indiqué la secrétaire d'Etat. Ces entreprises sont actives dans des domaines aussi divers que la consultance, l'engineering, les sciences de la vie, les technologies de l'information et de la communication, la mode, les produits chimiques... 

Pour la secrétaire d'Etat, les objectifs du gouvernement Bruxellois sont clairs : « le taux de chômage des jeunes étant très élevé, la priorité est de mettre les jeunes en situation de travail. Il convient de mettre en place des programmes dans lequel les entreprises seraient aidées pour former les jeunes en entreprise ». 
« Les programmes de formation BYEP et AIE répondent à ces objectifs », conclut-elle.